Foodrest, mieux comprendre et réduire le gaspillage des fruits et légumes frais chez les ménages
Description de cette initiative
Aujourd’hui, les consommateurs produisent un tiers des déchets alimentaire, principalement des fruits et légumes frais, alors qu'une grande partie peut être évitée. Le projet FoodRest, porté par deux laboratoires de recherche de l’Université de Bretagne Occidentale (UBO), vise à mieux comprendre les causes de ce gaspillage et à proposer des solutions pour le réduire.
50 ménages volontaires du pays de Brest ont participé à la première étape du projet. Grâce à de nombreuses rencontres et à cette association chercheurs/consommateurs, l’équipe du projet FoodRest comprend mieux les aspects comportementaux et microbiologiques liés au gaspillage alimentaire des fruits et légumes frais dans les foyers. Les premiers résultats et recommandations seront présentés lors de cette conférence.
un texte repris de l'annonce de la rencontre et du site du projet
Nom de l'acteur
Foodrest, porteur du projet : Patrick GABRIEL
Auteur de la fiche
Michel Briand
Type d'acteurs qui propose cette initiative
Groupe - Collectif
Echelle d'action
Intercommunalité
Ville
51 rue Branda, Brest
Comment contacter cette initiative?
foodrest@univ-brest.fr
Mot Clef
- Alimentation, circuit court
- Climat, transition écologique
Partenaires associés
- 2 unités de recherche impliquées : LEGO, LUBE, 9 chercheurs
- 2 partenaires : ANSES et ADEME
- 1500 personnes impliquées dans les études
- 558 K€ de budget, Financement Agence Nationale de la Recherche
En complément :
Depuis mars 2021, les membres du projet de recherche FoodRest analysent les habitudes de consommation et de conservation des aliments chez 50 foyers volontaires du Pays de Brest. Pour présenter les premiers résultats du projet, ils vous invitent à une conférence, ouverte et accesible à tous :
Mercredi 7 décembre à 19h30
au BEAJ Kafe 51 rue Brenda, 29200 Brest
Avec :
- Morgane Innocent, ingénieure de recherche au laboratoire d'Économie et de Gestion de l'Ouest (LEGO)
- Damien Ballan, doctorant au laboratoire Universitaire de Biodiversité et d’Écologie Microbienne (LUBEM)